• ☼ Toutes les histoires simultanément ☼ Doc! Paris avec Kim Doan Quoc & Noah Truong ☼ Vernissage le 09/11 - 18h/22H

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Prelude

Installation

Dimensions variables

Matériaux industriels et organiques

2023 - 2024

Dans l’atelier adjacent, nous pénétrons dans un environnement complexe, densément peuplé d’objets disparates et mystérieux. Des bricolages techniques dialoguent avec des outils dont on devine l’usage rituel. Des formes hybrides mêlant univers animal, minéral et végétal côtoient un vocabulaire issu du monde du tuning automobile. Écrans et caméras se télescopent dans un jeu qui brouille les frontières entre champ et hors-champ, entre coulisses et plateau de tournage, entre décor et studio. Des câbles et des tiges métalliques relient les différentes saynètes, éclairées par des dispositifs lumineux portatifs ainsi que par leur propre image filmée.

Wilfried Dsainbayonne qualifie son installation de maquette ou encore de storyboard praticable pour un film en devenir, dont nous assistons en live à des parties de tournage. Des personnes s’affairent en effet pour activer les différents outils sous la direction de l’artiste. L’ensemble narratif fragmenté ainsi créé renvoie à l’histoire intime de l’artiste. À son retour dans son pays natal du Congo, son père laisse derrière lui sa voiture, une Honda Prelude 2ème génération, garée dans un parking souterrain, entretenue et nettoyée tous les mois par sa femme, la mère de l’artiste. C’est ce geste, entre rituel de deuil, action de soin et tentative de retenir le temps, qui est central dans cette recherche au long cours de Wilfried Dsainbayonne. L’eau y est omniprésente, tout comme des objets issus de l’héritage culturel de son père. Bien que l'artiste ait pu suivre certains rites dans son enfance, ces derniers restent largement insaisissables et mystérieux pour lui, aussi il le cite en toute humilité, en l’hybridant avec ce qu’il connaît et ce qui reste : le geste de nettoyage opéré par sa mère. L’installation se meut alors en un outil de communication énergétique, qui tente de tisser des liens entre ce qui est éloigné, et de rendre hommage aux personnes et objets qui constituent le monde de l’artiste.

Extrait du texte de l'exposition "angles morts et pointes d'iceberg" à Artistes en résidence, Clermont-Ferrand - Fev 2024

Prelude

Installation

Dimensions variables

Matériaux industriels et organiques

2023 - 2024

Dans l’atelier adjacent, nous pénétrons dans un environnement complexe, densément peuplé d’objets disparates et mystérieux. Des bricolages techniques dialoguent avec des outils dont on devine l’usage rituel. Des formes hybrides mêlant univers animal, minéral et végétal côtoient un vocabulaire issu du monde du tuning automobile. Écrans et caméras se télescopent dans un jeu qui brouille les frontières entre champ et hors-champ, entre coulisses et plateau de tournage, entre décor et studio. Des câbles et des tiges métalliques relient les différentes saynètes, éclairées par des dispositifs lumineux portatifs ainsi que par leur propre image filmée.

Wilfried Dsainbayonne qualifie son installation de maquette ou encore de storyboard praticable pour un film en devenir, dont nous assistons en live à des parties de tournage. Des personnes s’affairent en effet pour activer les différents outils sous la direction de l’artiste. L’ensemble narratif fragmenté ainsi créé renvoie à l’histoire intime de l’artiste. À son retour dans son pays natal du Congo, son père laisse derrière lui sa voiture, une Honda Prelude 2ème génération, garée dans un parking souterrain, entretenue et nettoyée tous les mois par sa femme, la mère de l’artiste. C’est ce geste, entre rituel de deuil, action de soin et tentative de retenir le temps, qui est central dans cette recherche au long cours de Wilfried Dsainbayonne. L’eau y est omniprésente, tout comme des objets issus de l’héritage culturel de son père. Bien que l'artiste ait pu suivre certains rites dans son enfance, ces derniers restent largement insaisissables et mystérieux pour lui, aussi il le cite en toute humilité, en l’hybridant avec ce qu’il connaît et ce qui reste : le geste de nettoyage opéré par sa mère. L’installation se meut alors en un outil de communication énergétique, qui tente de tisser des liens entre ce qui est éloigné, et de rendre hommage aux personnes et objets qui constituent le monde de l’artiste.

Extrait du texte de l'exposition "angles morts et pointes d'iceberg" à Artistes en résidence, Clermont-Ferrand - Fev 2024

Prelude

Installation

Dimensions variables

Matériaux industriels et organiques

2023 - 2024

Dans l’atelier adjacent, nous pénétrons dans un environnement complexe, densément peuplé d’objets disparates et mystérieux. Des bricolages techniques dialoguent avec des outils dont on devine l’usage rituel. Des formes hybrides mêlant univers animal, minéral et végétal côtoient un vocabulaire issu du monde du tuning automobile. Écrans et caméras se télescopent dans un jeu qui brouille les frontières entre champ et hors-champ, entre coulisses et plateau de tournage, entre décor et studio. Des câbles et des tiges métalliques relient les différentes saynètes, éclairées par des dispositifs lumineux portatifs ainsi que par leur propre image filmée.

Wilfried Dsainbayonne qualifie son installation de maquette ou encore de storyboard praticable pour un film en devenir, dont nous assistons en live à des parties de tournage. Des personnes s’affairent en effet pour activer les différents outils sous la direction de l’artiste. L’ensemble narratif fragmenté ainsi créé renvoie à l’histoire intime de l’artiste. À son retour dans son pays natal du Congo, son père laisse derrière lui sa voiture, une Honda Prelude 2ème génération, garée dans un parking souterrain, entretenue et nettoyée tous les mois par sa femme, la mère de l’artiste. C’est ce geste, entre rituel de deuil, action de soin et tentative de retenir le temps, qui est central dans cette recherche au long cours de Wilfried Dsainbayonne. L’eau y est omniprésente, tout comme des objets issus de l’héritage culturel de son père. Bien que l'artiste ait pu suivre certains rites dans son enfance, ces derniers restent largement insaisissables et mystérieux pour lui, aussi il le cite en toute humilité, en l’hybridant avec ce qu’il connaît et ce qui reste : le geste de nettoyage opéré par sa mère. L’installation se meut alors en un outil de communication énergétique, qui tente de tisser des liens entre ce qui est éloigné, et de rendre hommage aux personnes et objets qui constituent le monde de l’artiste.

Extrait du texte de l'exposition "angles morts et pointes d'iceberg" à Artistes en résidence, Clermont-Ferrand - Fev 2024

Adresse

2 rue de Wasquehal

59100 Roubaix

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